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Dans un point de presse, le président du parti de l'Union Démocratiques pour le Développement Dikbo Hubert à quelques jours de la rentrée scolaire dénonce l’augmentation des frais de scolarité.

Pour l'UDD, l'insécurité est devenue chronique ces derniers jours assombris par des meurtres dans le Mayo-Kebbi Ouest (MKO), « plusieurs âmes ont été arrachées de force par des malfrats, des terroristes et d'autres criminels qui circulent librement ». Selon M. Hubert, les populations ne dorment pas chez elles, des élèves sont retenus en otage et des malfrats et autres criminels rodent toujours. Dans quelles conditions et quel climat social de la rentrée scolaire pourra-t-elle être effective dans le MKO ? s'est-il interrogé.

Il exige la sécurité des enseignants affectés dans la région tout en ajoutant que le système éducatif dans le MKO subit les conséquences de l'insécurité. Le UDD exige des mesures drastiques pour instaurer un climat de paix et permettre aux élèves et aux enseignants à reprendre le chemin de l'école.

Au sujet de l’augmentation des frais de scolarité, le président croît que « cette hausse des frais d'inscription peut contraindre à abandonner l'école et encourager le grand banditisme », a-t-il déclaré. Il poursuit, l’argent de pétrole ne doit pas seulement servir à payer les armes et à enrichir des individus, mais aussi aider à bâtir une éducation solide.

S'agissant de la privatisation de SONACIM, Dikbo Hubert estime que le Premier ministre Saleh Kebzabo a soutenu le projet de la privatisation de la SONACIM parce que cette société n'est pas implantée dans son village et qu'il n'a jamais aimé la province du MKO. Le parti condamne aussi les incidents survenus dans la ville de Faya.

Noël Adoum

Le mouvement « Les Jeunes avec Mahamat Idriss Deby Itno », a organisé une journée portes ouvertes ce samedi 9 septembre à son siège au quartier Ambassatna dans le 3e arrondissement de la capitale tchadienne N'Djamena.

Ils sont plus d'une centaine des jeunes à répondre à cette journée organisée par le président du mouvement J-MIDI, Bonheur Mortordé. Il a relevé que le local de son organisation dispose de plusieurs salles faites dédiées à la jeunesse tchadienne. « Nous disposons d'ores et déjà des salles de lecture avec une bibliothèque, une salle d'informatique et des formations ». Il indique que ses différentes salles seront entièrement disposées à la jeunesse. « Vous passerez lire et vous faire former gratuitement par le mouvement, peu importe votre obédience politique, culturelle ou religieuse », dit-il. M. Mortordé annonce aussi que des débats d'échanges, de confrontation d'idées seront organisés chaque week-end pour une jeunesse forte, respectueuse et unie dans la divergence d'opinions.

Pour Carmel Ndilmaye, président du cadre des jeunes leaders pour le maintien de la paix et de la stabilité au Tchad (CJLPST), l'ouverture du local du J-MIDI et l'organisation de la journée portes ouvertes sont des actes marquants pour l'avenir du pays dans l'unité, la paix, le dialogue et le pardon. Il dit être heureux et satisfait de cette prouesse.

Pour finir, le président du J-MIDI a rappelé à l'audience que l'organisation n'est pas là pour accompagner aveuglément une personne, mais pour en faire des propositions concrètes pour la refondation du Tchad, conclut-il.

Abderamane Moussa Amadaye

Le parti Tchad uni a organisé sa rentrée politique ce samedi 9 septembre au sein de son siège national au quartier Sabangali. Elle est placée sous le thème « Les Tchadiens font face aux défis au retour à l'ordre constitutionnel ».

Mme Touwembaye Mbaïtidjé Geneviève représentante des femmes affirme que la cherté extrême et croissante de la vie, l'inaccessibilité des services sociaux, l'irresponsabilité de l'État a conduit les Tchadiens à la mendicité, à la prostitution, à commettre des actes criminels pour survivre. Pour elle, cette triste et difficile période a réduit plus de 80% des Tchadiens à un seul repas par jour.

Dr Djimnadjinga Ratangar 1er vice-président chargé de relations avec les partis politiques affirme que c'est pour la promotion et la défense de la démocratie et les libertés fondamentales au Tchad qu'a été créé le Tchad uni. Selon lui, son parti constate avec regret le recul de la démocratie avec la restriction des libertés et les droits. Il déplore l'interdiction des réunions publiques et des manifestations sur la voie publique qui empêche l'exercice de la démocratie. Il indique que c'est dans la paix, l'unité nationale que les Tchadiens peuvent parvenir à un changement. Non en conquérant le pouvoir par les urnes.

Ousmane Bello Daoudou

La plateforme des Organisations de la Société Civile pour la Paix et la Cohésion Sociale « Vivons tous ensembles » a organisé la grande finale inter arrondissement d'art oratoire sur le thème, « Initiation des jeunes en art oratoire pour la promotion des valeurs républicaines » samedi 9 septembre.

Le représentant de l’entreprise de téléphonie mobile Airtel estime que l'art oratoire est incontournable dans la société, « ce concours est une innovation pour redonner confiance aux jeunes ». L’entreprise a offert des bourses d'études aux 10 candidats à l'Institut d'art oratoire de centre culturel Almouna.

La coordinatrice de la plateforme, « Vivons tous ensembles » ou « Ni ichou koulina sawa» en arabe, Fatimé Boukar Kosseï affirme que la plateforme ne cesse de faire des efforts pour promouvoir la paix, la cohésion sociale, de l'amour du prochain, de la citoyenneté et de la tolérance. « Nous sensibilisons la masse contre la guerre et toute autre forme de violence mettant en mal l'unité de la prospérité du Tchad ».

Selon elle, la plateforme soutient toutes les initiatives pour l'épanouissement, l'éducation, la défense des valeurs sociales. Elle s'est appuyée sur la déclaration du philosophe grec Cicéron, qui disait, « l'art oratoire est une combinaison de compétence verbale et non verbale.

Enfin, après la prestation des candidats, le jury après délibération a attribué le prix du vainqueur de la grande finale d'art oratoire au candidat représentant le 7e arrondissement de N'Djamena Dieu-Protège Kemneldi qui a été récompensé par une moto de marque Haodjue. Il a été suivi de autres candidats notamment 8e et 10e arrondissements qui ont été récompensés par des ordonnateurs de marque HP.

Noël Adoum

Par une déclaration conjointe signée par 4 organisations de la presse privée du Tchad, unis pour la défense de la liberté de la presse et du droit à l’information dénoncent les entraves persistantes de la direction de communication de la présidence.

Selon les signataires, la Direction de la Communication Présidentielle (DGCOM) a fait objet des plusieurs obstacles compromettant le bon fonctionnement bon des médias au Tchad. Parmi ces entraves, les signataires ont cité la violence et intimidation. « Nous condamnons fermement les actes de violence et d'intimidation envers nos journalistes lors de la couverture des événements présidentiels, perpétrés par des forces de sécurité sur ordre de la DGCOM », relèvent les représentants des organisations faîtière. Ils déplorent également des restrictions injustifiées imposées par la DGCOM, leur empêchant l'accès ainsi entravant d'exercer librement leur travail lors des activités de la présidence. Selon eux, cette pratique leur empêche d'accomplir leur devoir d'informer indépendamment et équitablement le public tchadien, disent-ils. Les organisations dénoncent aussi la sélection partisane. « Nous dénonçons la partialité de la DGCOM envers certains médias lors de la distribution des badges d'accès, nuisant à la diversité de l'information et au pluralisme médiatique », indiquent-ils. A cela s'ajoutent également des menaces et chantages liés aux droits d'auteur, relèvent les signataires de cette déclaration. « Nous rejetons les menaces et chantages liés aux droits d'auteur visant à réprimer notre accès à l'information d'intérêt public. Alors que les images et autres sont produites grâce au fonds public et que la personnalité du Chef de l'État est publique », disent-ils. Face à cette situation qu'ils qualifient des « graves atteintes à la liberté de la presse » et à leur sécurité, les journalistes de la presse privée du Tchad, décident de suspendre la couverture des activités présidentielles, d'arrêter de toute collaboration avec la DGCOM et de cesser toute collaboration jusqu'à la prise des mesures concrètes garantissant leur sécurité et leur accès à l'information publique.

Le porte-parole chargé de la mobilisation de Wakit Tama section politique dénonce le soldat tchadien tué, au cours d’une altercation, par un infirmier militaire à Faya Largeau, capitale de l’extrême nord du pays. Le Tchadien aurait assené 3 coups de couteau à l’infirmier-militaire français qui a fait usage de son arme.  M. Zakaria Adam Zakaria a dénoncé cette mort hier jeudi 7 septembre dans les locaux de la bourse du travail.

Plus d’une dizaine de personnes se sont réunies à la bourse du travail pour exprimer leur préoccupation sur la situation tendue dans la ville de Faya. Les militants de Wakit Tama section politique ont exprimé leur ras-le-bol devant la presse.

Le porte-parole chargé de la mobilisation Zakaria Adam Zakaria affirme, « un citoyen tchadien a été assassiné de sang-froid par les forces françaises. Nous condamnons cet assassinat du jeune tchadien, Mohamed Daku », a-t-il déploré. Il poursuit, le Tchad est toujours en retard depuis que la France a accordé la fausse indépendance par charité, tandis que d'autres pays ont lutté et se sont battus pour atteindre une indépendance complète. Pour lui, les accords entre la France et le Tchad ne sont pas dans l'intérêt de la jeunesse tchadienne.

Wakit Tama exige le démentiellement des bases militaires, le départ de l’armée française du Tchad, l’expulsion de l'ambassadeur de France du Tchad et la rupture des accords illégaux entre la France et le Tchad.

Pour Hamza Mahamat Moussa, que les jeunes de Wakit Tama sont aux côtés de la famille de la victime et lui apporterons leur soutien assistance. « Nous soutenons toutes les décisions et les actions entreprises par les habitants de Faya. C’est un acte criminel et immoral en violation des droits de l'homme et de la souveraineté nationale », a-t-il déclaré. Il appelle les Tchadiens libres à resserrer le rang pour la justice et l’équité. Wakit Tama compte organiser une manifestation pacifique en solidarité avec la famille de la victime et contre la présence des forces françaises sur le territoire national. 

Noël Adoum

Le parti les Élites a organisé un point de presse pour le lancement de ses activités. Son slogan est « le changement c'est maintenant, le changement c'est nous : le peuple d'abord », c’était hier après-midi 6 septembre 2023 à la maison de Médias du Tchad au quartier Moursal dans le 6e arrondissement.

Mme BAPONWA Patricia Djongyang est la présidente du parti. Elle affirme que l'objectif de son organisation est l’union, la refondation de la société tchadienne autour de la justice et de l'égalité, dit-elle. Selon elle, après l'indépendance, le développement du pays a été retardé par les troubles sociopolitiques animés par les guerres intertchadiennes avec les conséquences désastreuses qui ont impacté négativement le tissu social tchadien. Pour elle, les violences armées ont créé des conflits entre agriculteur et éleveur occasionnant des milliers de morts. Elle soutient aussi que le secteur éducatif, sanitaire et le chômage sont devenus un outil de manipulation politique et non une priorité pour le gouvernement.

Mme BAPONWA Patricia Djongyang appelle à une profonde réflexion et à une prise de conscience des cadres autour des nouveaux idéaux politiques pour bâtir un Tchad nouveau véritablement démocratique. « Ce nouveau Tchad doit être basé sur l'unité, l'Équité et la justice, le seul souci de son parti ».

Pour finir, elle invite les Tchadiens à jeter un regard rétrospectif à l'effet d'analyser les enjeux qui menacent le développement socio-économique du pays.

Ousmane Bello Daoudou

Lors d'un atelier de vulgarisation de la loi d’asile et le décret d’application de la loi sur les personnes déplacées internes, le ministre de l’Administration du Territoire et de la bonne gouvernance Limane Mahamat a remis officiellement les textes au Haut-commissaire des Nations-unies Phillipo Grandi ce mercredi 6 septembre.

Le ministre  de l’Administration du Territoire, de la Décentralisation et de la Bonne Gouvernance, Limane  Mahamat affirme que cette loi d’asile en République du Tchad apporte protection et assistance aux personnes déplacées internes au Tchad ainsi que l’accueil sur son  territoire des milliers des réfugiés et des demandeurs d’asile, cela participe à la concrétisation des engagements pris par le Tchad .« Depuis plus d'une décennie, le Tchad constitue une terre d'asile pour les réfugiés, soit à ce jour près de 1.062.000 personnes en déplacement forcé» dit le ministre. Le nombre des réfugiés et demandeurs d'Asile représente plus de 3% de la population tchadienne, faisant du Tchad le premier pays d'Asile en Afrique, mais aussi le classant parmi les dix (10) plus grands pays d'accueil des réfugiés au monde. Il a lancé un appel à la mobilisation internationale afin de soutenir les efforts du Gouvernement de la transition à faire face à la situation des personnes réfugiées et déplacées internes.

Le Secrétaire permanent de la CNARR Idriss Mahamat Ali Abdallah Nassour, a souligné la mission de son organisation qui consiste à faciliter le retour des rapatriés et leur réinsertion dans la vie socioprofessionnelle. « Il faut mettre en application les instruments juridiques internationaux et les lois nationales relatives aux réfugiés et aux demandeurs d’asile et assurer leur protection et les assister », dit-il. 

Le Haut-commissaire des Nations-Unies, Phillipo Grandi affirme que le Tchad grâce à sa générosité accueille plus de 400 000 nouveaux réfugiés soudanais répartis dans plusieurs sites sur son territoire. Il a salué l‘hospitalité légendaire du Tchad envers les personnes fuyant les persécutions, une hospitalité qui se matérialise aujourd’hui par l’adoption de la toute première loi d’asile du pays et son décret d’application, « ce sont des textes progressistes dans leur esprit tant ils confèrent aux réfugiés l’opportunité de jouir de leurs droits fondamentaux, de bénéficier des opportunités de solutions et de contribuer à l’économie locale ainsi qu'au développement du pays ».  Il a lancé un appel aux ONG et aux partenaires financiers à s’approprier les dispositions de cette loi d’asile et son décret d’application afin de s’engager à accompagner le Tchad dans son effort pour l’inclusion des réfugiés.

Noël Adoum

A quelques semaines de la rentrée académique 2023-204 de l'enseignement supérieur au Tchad, s'est ouvert ce 5 septembre à l'amphithéâtre de la faculté des sciences de la santé humaine de l'université de N'Djaména, les travaux du directoire édition 2023. Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l'innovation, Dr Tom Erdimi a ouvert les travaux.

Pour le ministre de l'Enseignement supérieur, cette réunion s'inscrit dans la droite des réformes entamées depuis 9 mois avec « les journées d'échanges et de réflexion sur l'enseignement supérieur » dont l'objectif est de démarrer l'année académique 2023-2024 dès le 1er octobre 2023 afin de mettre fin aux élasticités et à la superposition des années académiques, dit-il. Dr Tom Erdimi affirme qu'à quelques semaines de la rentrée prochaine, il est impératif de réunir les différents acteurs de l'enseignement supérieur tchadien autour d'une table afin de faire un bilan du fonctionnement des institutions au cours de l'année académique écoulée. Et d'envisager les perspectives de la rentrée le 1er octobre prochain.

Toujours selon le ministre, cette rencontre qui réunit les responsables des différents établissements publics du pays est une occasion pour évaluer l'applicabilité des décisions prises pour le redressement de l'enseignement supérieur « C'est à l'issue de cette réunion que des discussions franches s'engagent pour éclairer certains points et ajuster les remarques et suggestions, faire les bilans de la gouvernance institutionnelle en passant par la gestion optimale des ressources », dit-il. Il affirme qu'aucun point ne sera tabou pour le redressement du système. M. Erdimi, invite les responsables des institutions de délaisser certaines mauvaises habitudes qui plombent le secteur. « Le respect des textes est un impératif, les voyages et déplacements doivent être réglementés, les conflits d'intérêts et les malversations financières ne doivent pas exister à l'enseignement supérieur ».

Le ministre rappelle aux enseignants chercheurs tchadiens de doubler d'effort pour produire des publications. « Un enseignant chercheur qui ne publie rien cesse d'être un enseignant-chercheur », a-t-il lâché. Il invite les institutions à élaborer un plan de formation pour les assistants afin de promouvoir l'accès aux grades. Pour clore ses propos, Dr Erdimi dit, « les institutions doivent être plus actives en nouant des relations de coopération universitaire pour bénéficier des expériences modernes et de concevoir des projets bancables pour financement. J’espère que ces 3 jours vous permettront de réfléchir sans tabou sur les institutions de l'enseignement supérieur qui forme la crème de l'intelligentsia parce que c'est de ces milieux que sortent les cadres de la République », conclut-il.

Rappelons que la réunion du directoire a été instaurée il y a plus d'une décennie par les responsables de l'enseignement supérieur. Elle se tient habituellement à la fin de l'année académique pour faire le bilan des activités administratives et académiques de l'année écoulée et aussi se projeter sur la nouvelle année académique.

Abderamane Moussa Amadaye

Dans une lettre adressée au président de transition le 4 septembre passé, des citoyens tchadiens ont fait des recours gracieux contre les ordonnances N° 8, 9, 10 et 11 du 1er août dernier. Ils demandent l'annulation de ces ordonnances. Ils soutiennent qu’elles violent les règles et les principes à valeur constitutionnelle et les engagements internationaux souscrits par le Tchad.

Ils sont au total 13 personnes à avoir signé la lettre, « l'application excessive du droit ou l'abus du droit conduit à l'injustice » disent-ils. Pour eux, le 1er août dernier, le président de transition a pris des ordonnances numéros 8 relative à l'état d'urgence, 9 relative aux attroupements, 10 relative aux réunions publiques, et 11 relative aux manifestations sur la voie publique. « Ordonnances qui dans leur portée que dans leur application restreignent, contrôlent voire enlèvent aux citoyens le droit de vivre libre et d'exercer pleinement nos droits prévus par le droit interne et garanti par les lois internationales », ont-ils souligné. Ils ajoutent, aucune circonstance ne saurait justifier cette restriction surtout dans un État sous un régime de transition.

Ces citoyens contestent les ordonnances du fait qu'elles enfreignent les droits et libertés et les conventions internationales.

Selon les requérants, ces ordonnances portent atteinte à la liberté de se déplacer librement, de n'être point arrêter arbitrairement ou séquestrer, d'être jugé avec toutes les garanties légales dont le respect du principe de l'égalité, les droits de la défense, la liberté d'opinion, etc. Ces ordonnances compromettent la liberté de réunion et la liberté d'association par leur application systématique.

Ces citoyens affirment que le rôle d'un président de transition est d'assurer la continuité de l'État pour la période de transition sans y avoir le pouvoir d'édiction des textes relevant du domaine de la loi. « Le président de transition doit annuler ces ordonnances et de prendre toutes les mesures nécessaires pour rectifier les effets préjudiciables de ces ordonnances ».

Noël Adoum

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