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La sous-préfecture de Mballabanyo dotée d’un château solaire de 20 mètres cubes. La cérémonie de réception était présidée par le gouverneur de la province du Logone occidental en présence des autorités civiles et militaires des différents services.

Le gouverneur de la province du Logone occidental Ibrahim Ibn Oumar Mahamat Saleh a officiellement procédé à l’inauguration d’un château a solaire, ce vendredi 9 décembre 2022 dans la sous-préfecture de Mballabanyo. Cette œuvre est une réalisation des bailleurs de fonds koweitien à travers CEFORBAT de l’ONG AIDE DIRECTE au bénéfice de cette communauté où l’accès à l’eau potable reste un problème quotidien.

Dans son allocution de circonstance, Mme la sous-préfète de Mballabanyo Toumanlengar Dadmadji Prudence a déclaré que dans la sous-préfecture de Mballabanyo l’accès à l’eau potable reste un défi réel pour la population. Mme Prudence ajoute que les conditions de vie d’une manière générale sont insalubres à cause de l’insuffisance d’eau potable. Ces conditions d’insuffisance d’eau potable sont à l’origine des maladies hydriques et prennent deviennent de plus en plus épidémique entraînant ainsi de nombreux cas de décès chez.

Inaugurant officiellement le château d’eau d’une capacité de 20 mètres cubes, le gouverneur de la province du Logone occidental, Ibrahim Ibn Oumar Mahamat Saleh a saisi l’occasion pour dire que l’eau c’est la vie, mais en réalité l’eau est le début de tout. « La réception de ce château d’eau est une réponse à vos besoins. Je vous prie d’en faire bon usage, bon usage c’est aussi un bon comportement responsable, une consommation rationnelle, efficiente et proportionnellement à vos besoins hydriques et hydrauliques », a dit le gouverneur.  M. Ibn affirme qu’il est important de chaque chose se mesure au moment de sa perte, c’est pourquoi ajoute-t-il, je vous invite dès à présent réfléchir sur la perspective de mise à pied d’un comité de gestion pour l’entretien et la préservation de ce joyau.    

Mbaiwanodji Adrien, Moundou, Ialtchad Presse

Le secrétaire général de la province du Logone occidental Tchouzeube Sindang Basile a présidé une séance de travail sur le plaidoyer en faveur de la campagne de masse contre la Covid-19 du 13 au 22 décembre 2022, ce jeudi 8 décembre 2022 dans la salle de réunion du gouvernorat de Moundou. C’était en présence des délégués provinciaux des différents services de l’État, les responsables de forces de défense et de sécurité, les responsables des confessions religieuses, les partenaires techniques et financiers du ministère de la Santé. 

Dans son discours le secrétaire général de la province du Logone occidental Tchouzeube Sindang Basile, a déclaré que malgré les résultats encourageants les réalités ne traduisent certainement pas de manière totale la maîtrise de la pandémie, mais laisse percevoir un début de renforcement de l’immunité de la population et de toutes les mesures de prévention. « La lutte contre la Covid-19 est une course de fond et non un marathon, ce processus pour le bien public   requiert clairvoyance, endurance, et résistance », dit M. Tchouzeube Sindang Basile. Chaque fois, on nous informe des nouveaux variants, de sa contagiosité  et il nous faut adopter des stratégies de résilience face à ce défi,  poursuit-il. Nous devons maintenir les efforts en appliquant toutes les mesures disponibles dont l’efficacité a été démontrée en matière de lutte contre de telles maladies, il s’agit entre autres de l’adhésion de la population à la vaccination et aux mesures de santé publique y compris les gestes barrières largement à la portée de tous.

M. le secrétaire générale a indiqué que le monde entier et particulièrement de la science a reconnu l’évolution de la pandémie, et la vaccination est l’une des stratégies les plus performantes et les plus sûres. Au regard des conséquences, affirme-t-il, raison pour laquelle nous tous ici présents devons encourager les gens à se faire vacciner, dans le contexte épidémiologique épidémique mondial actuel, se faire vacciner est plus qu’un geste citoyen. C’est un acte de santé publique de solidarité et de charité en vers son prochain, personne en effet, ne sera en sécurité tant que tout le monde ne le fera pas ou ne se fera pas vacciner « Nous devons conjuguer nos efforts pour remporter le combat contre la désinformation et la suspicion qui crée des doutes sur la vaccination contre ce fléau, stopper les idées arrêtées, véhiculées à tort », dit M. Sindang Basile.

Mbaiwanodji Adrien, Moundou, Ialtchad Presse

Le Ministère de la Santé publique et de la Prévention a célébré la journée mondiale de la santé mentale édition 2022 sous le thème  «  faire de la santé mentale pour tous, une priorité mondiale » hier mardi 6 décembre à la Maison de la femme.

Pour la coordonnatrice nationale du programme de la santé mentale, Mme Clako  Karamega, la journée mondiale de la santé mentale qui devrait normalement être célébrée le 10 octobre est organisé ce jour pour éviter certaines perturbations. Cette journée a pour objectif, selon elle, de sensibiliser et d’orienter la population sur la question de la santé mentale, « le Tchad comme les autres   pays dans le monde a beaucoup de problèmes de santé mentale  causée  par les problèmes  familiaux, sociaux et autres. Donc, on doit donner notre attention à ce type de patient, on doit  les aider, les orienter vers les services de la santé mentale pour une bonne prise en charge, on ne doit pas les négliger ». Elle ajoute  que cette journée est célébrée en différé.

 Durant 4 jours une  équipe fera le tour dans les différents coins pour sensibiliser toute la population. Mme Karamega relève également  l’insuffisance  des services de prise en charge des malades mentaux et  martèle que c’est  un problème qui handicape leur travail.  «  Vous voyez, pour un pays comme le Tchad, vous ne pouvez pas imaginer qu’il n’y a qu’une seule unité de prise en charge des malades mentaux, l’hôpital General de Reference National. C’est un petit service qui ne couvre pas le besoin de  la population. Toutefois, le ministère est en train de fournir des efforts pour mettre à la disposition de la population tchadienne un centre de prise en charge adéquat pour accueillir ces patients ».  

Pour finir, Mme Karamega interpelle toute la population d'aider toute personne ayant des doubles mentaux proches d'eux en les confiant aux agents sanitaires pour leurs prises en charge.

Narhinguem Anastasie

Le comité d’assistance aux victimes de Krim krim a effectué une visite ce mardi 6 décembre 2022 au service de la chirurgie de l’hôpital provincial de Moundou. Pour rappel du 20 au 22 novembre dernier, la population du canton CAP mécontent du sort qui leur ai réservé par rapport au dossier de la dévastation d’un champ par des bœufs se sont mobilisée pour venir à la gendarmerie demander la libération d’un des leurs, une demande soldée par la mort de 10 personnes et une vingtaine autres blessées. « Nous sommes venus assister les survivants de l’évènement malheureux qui a une fois de plus endeuillé la famille tchadienne », a dit le chargé de communication de ce comité Bétoloum Bénoit Joseph.

Toujours selon M. Bétoloum, suite à cet évènement spontané nous avons mis sur pied ce comité afin de mobiliser des ressources en vue d’assister ces victimes, le soutien des bonnes volontés sera un ouf de soulagement, « l’hôpital a beaucoup fait avec les premiers soins d’urgence, il manque encore des moyens pour les frais médicaux. Les bonnes volontés ont manifesté pour nous permettre de poser cet acte humanitaire », ajoute-t-il.

Pour le comité au sujet des mécontents arrêtés, que justice soit rendue. Le comité organisera dans les jours avenirs une visite dans leur lieu de détention pour les assister. « Nous exhortons les blessés qui ont quitté l’hôpital sans l’autorisation du médecin de revenir suivre les traitements quel que soit la situation Dieu pourvoira un jour ». Pour Betoloum Benoit Joseph, il faut respecter le droit humain, il faut préserver le droit humain, l’être humain est sacré on ne peut pas le violenter. Il y a certaine revendication à faire, mais il faut que cela respecte les normes, quel que soit la faute commise, peut-être une façon de la reprendre, mais ce que nous avons vu ce jour ça relève d’un autre âge, nous ne jugeons pas , nous ne condamnons pas, mais face à ce genre de chose, les gens privilégient plus de dialogue que d’utiliser la violence pour résoudre un problème ou pour satisfaire une revendication.

Mbaiwanodji Adrien, Moundou, Ialtchad Presse

Le comité olympique et sportif tchadien a lancé ce  05 décembre à l’Institut Nationale de la Jeunesse et du Sport (INJS) la semaine d’excellence sportive 1re  édition, sous le thème « Paix et cohésion sociale ».

Cette semaine d'excellence sportive est lancée afin de mieux préparer les compétitions mondiales qui sont en cours, mais également pour prouver  à l’opinion que le sport est un élément catalyseur de la paix et de la cohésion sociale. Il permet aussi de mettre en exergue les talents des athlètes tchadiens, disent les organisateurs.

Son Vice-président Bani Gata Goulou dit avoir l’obligation de créer les activités sportives parce que cette année est déclarée par le président de transition, une année de sport. Comme l’année tire à sa fin, le Cost a décidé d’honorer la parole présidentielle et d’aider le gouvernement dans sa politique pour que la jeunesse se mette en synergie autour du sport. Cette semaine consiste aussi à montrer le travail effectué par la fédération pour faire la promotion des athlètes.

Malheureusement, par manque de budget, parmi les 15 disciplines, 12 ont répondu présents pour participer. Durant ces 7 jours de compétition, les 12 fédérations sportives présenteront des activités dans les différents centres retenus pour la circonstance. Il s’agit du taekwondo, judo, karaoké, lutte, tir à arc, athlétisme, basket, etc.

Le vice-président signale que la semaine d’excellence est à sa 1ere édition. Il se déroule donc à l’échelle locale au niveau de N’Djamena. L’idée est de faire que les prochaines éditions puissent impliquer toutes les régions.

Donatienne Rakindang
Narhinguem Anastasie

Après la commémoration de la journée internationale le 03 décembre 2022, sous le thème « Des solutions transformatrices pour un développement inclusif de l'innovation dans la création d'un monde accessible et équitable ». Ialtchad Presse s'est entretenu avec quelques personnes vivant avec le handicap.

Célébrée chaque année depuis 1992 à l'initiative de l'Organisation des Nations Unies (ONU), le 3 décembre est la journée internationale des personnes handicapées. Elle vise à promouvoir la compréhension des questions de handicap et à mobiliser le soutien pour la dignité, le droit et le bien-être des personnes handicapées.

Une remise de matériels au Réseau des personnes handicapées du Tchad (RAPHAT) ce 4 décembre au quartier Amriguébé dans le 5e arrondissement de la ville de N’Djamena, capitale tchadienne.

Pour Achta Radia Abdoulaye Secrétaire général provincial de Sila de RAPHAT, s’interroge si cela vaut la peine de fêter cette journée ? Pour elle, cette journée est une occasion de changer le regard sur les personnes handicapées malheureusement ce n'est pas le cas, dit-elle.

Parlant des difficultés des personnes handicapées surtout celle de la province du Sila, elle affirme,  « il nous manque des tricycles, des moyens pour les activités génératrices de revenus et l’accès aux études supérieures ». Selon elle, les hautes autorités cherchent à tout prix à satisfaire les personnes handicapées dans la généralité, mais il y a certains individus à côté qui profitent pour nous écarter tout en nous regardant avec mépris. Elles traitent la question des personnes handicapées comme si c’est une question de charité. « Il faut changer de paradigme, il faut se battre pour gagner notre vie car le problème des personnes handicapées n'est pas dans la pensée  ».

Taryam Michael Secrétaire Général Adjoint du comité national Paralympique affirme que par le passé, les concitoyens négligeaient la question des personnes handicapées. Les handicapées rencontrent d'énormes difficultés dans la vie active par exemple la grande partie des édifices publics sont construits en étages et les concepteurs n’ont pensé aux personnes handicapées. « Toutefois avec la loi 07 les choses vont s'améliorer au fur et à mesure ».

Pour Galmaye Moussa Abderamane, président national du réseau des personnes handicapées du Tchad et Conseillère nationale représentante de la personne handicapée a offert des matériels du bureautique pour améliorer les conditions de travail des personnes handicapées.

Dans la même d'ordre idée Mme Haram Alkhali Moussa affirme,  « je voudrais féliciter tous les activistes de la question du handicap et lancer un appel aux autorités nationales et aux partenaires d'œuvrer davantage pour l'inclusion et le développement intégré en faveur des personnes handicapées ». Elle rajoute,  « j'offre au Réseau des personnes handicapées du Tchad est une expression de mon engagement personnel pour la cause du handicap, une cause noble et humaniste ».

Ousmane Bello Daoudou

Festival Hip-hop « Junior Yalade Goumoufock » 6e édition a démarré à la maison de quartier de Chagoua dans le 7e arrondissement de N’Djamena ce vendredi 2 décembre sous le thème  « la non-discrimination et l'inclusion pour chaque enfant  »

C'est dans une ambiance tricolore bondée des petits enfants filles, garçons, des adolescents de tout âge et des adultes ont rempli l'espace de la maison de quartier Chagoua dès 16h avec de la musique assurée par des enfants qui criaient de joie.

Selon Bonon Roukika Augustin artiste, Porte-parole des enfants, l'objectif est de contribuer à la promotion des droits des enfants à travers les activités artistiques et culturelles.

Pour lui, le festival offre une plateforme d'expression et de plaidoyer aux jeunes sur les thématiques et les problèmes prioritaires de tous les enfants et aussi sensibiliser les communautés à un changement de comportement positif en faveur des enfants, car ils sont nés égaux et ont les mêmes droits. Et donc aider à éclairer sur la question de la Non-Discrimination et de l'inclusion ou à connaître leur droit et en être des ambassadeurs .

Il affirme que tout jeune tchadien âgé de 10 à 14 et de 15 à 18 ans peut compétir dans les rubriques programmées qui sont : rap, poésies, slam, interprétation et danse hip-hop.

Bonon Roukika Augustin affirme que le festival hip-hop junior appelé sous vocal  « Yalade Goumoufock  » en Arabe locale qui signifie  « Les enfants, levez-vous » est un grand événement culturel qui donne l'opportunité aux enfants à l’expression de leurs potentialités artistiques en toute quiétude, de donner leur opinion sur toutes les questions qui les concernent et de participer au développement du Tchad.

Depuis sa création, le festival a eu plus de 1500 participants qui sont devenus des ambassadeurs de la promotion de leurs droits fondamentaux, dit-il.

La finale se déroulera à la Maison de la Femme le 23 décembre.

Ousmane Bello Daoudou

À l'occasion de la journée mondiale, du SIDA les jeunes de la Maison de quartier de Chagoua a organisé une journée de dépistage Ialtchad Presse a baladé son micro pour recueillir les avis de quelques jeunes. Voici leurs avis.

Patricia Tamlar : « De nos jours, on ne connaît pas qui est qui, je fais mon test, c'est la santé avant tout. On ne sait jamais, il faut être en santé tôt que tard. Comme dit un Adage  « mieux prévenir que guérir ». Le VIH ne se voit pas à l'œil nu donc il faut faire son test pour se rassurer et être en bonne santé. C'est très important   ».

Olivier Kagane :  « Je suis venu à la maison de quartier de Chagoua pour assister à la sensibilisation sur VIH /SIDA et faire le test de dépistage . Je me suis dépisté pour contrôler ma sérologie. La protection, la fidélité oui, mais il faut contrôler de temps en temps.  Je viens de retirer mon résultat. Au début j'avais peur, mais maintenant ça va »

Djivira Clémentine :  « J'ai assisté à la conférence et je me suis fait dépister pour me protéger et prendre des mesures afin de ne pas contracter la maladie. C’est aussi pour être en sécurité et en bonne santé et pour ne pas contaminer les autres. Mon résultat est négatif ».

Halimé Mahamat Seid : « Le dépistage consiste à faire connaître sa position sérologique.  Je suis satisfait et je demande à mon mari de se rendre au centre de santé pour bien gérer notre foyer ».

Ousmane Bello Daoudou

Une conférence-débat a eu lieu ce 1er décembre 2022 à la maison de quartier Chagoua dans le 7e à l'occasion de la journée mondiale de lutte contre le SIDA.

Placé sous le thème  « le VIH /SIDA en milieu jeune et l'importance de vaccin contre le Covid- 19 ». Dans sa présentation, Stéphane Boyahre a axé son intervention sur les causes, les conséquences et les solutions pour éviter la contamination du Virus du VIH. Selon lui, ils ont parlé sur le comportement de jeunes sur la prise de l'alcool, et aussi le manque d'orientation sur la sexualité. Pour lui, ce sont des causes principales qui favorisent la contamination au VIH en milieu. Parlant de la solution « nous avons conseillé aux jeunes de prendre conscience en suivant le conseil de parents et aux parents d'assumer leur responsabilité sur la sexualité et bien d'autres maladies », martèle-t-il.

Il a aussi été question du gouvernement qui doit doter les maisons de quartiers de la capitale avec matériels et les dispositifs pour bien éduquer les jeunes. Enfin les conférenciers ont plaidé pour la création d’un centre de dépistage dans toutes les maisons de quartier. Ensuite, parlant de l'importance du vaccin de la COVID-19. C'est une maladie qui a fait rage dans sa spécialité dont il est important de prendre son vaccin.

Pour Kabanadiel Frédéric, les activités menées en faveur de la journée spéciale du SIDA, il affirme qu’ils ont débattu des causes, des conséquences et des solutions à appréhender afin d'éviter les infections. Pour lui, les différentes causes sont le civisme, l'adolescence comme est une période d'essai et les conséquences la stigmatisation des personnes et l’abandon des cours. Il faut aussi être fidèle à son partenaire.

Abdelkader Mahamat Amine Directeur de la maison de quartier Chagoua affirme, « les activités que nous organisons sont liées à la journée mondiale du SIDA. Nous avons assisté à la conférence-débat puis le Théâtre forum qui montre aux jeunes les modes de transmission pour bien se protéger».

Ousmane Bello Daoudou

Lors de la cérémonie de clôture du mois de livre organisée ce mercredi 30 novembre, quelques prix ont été décernés à 5 écrivains qui nous livrent leurs impressions.

Pour M. Vounsouna Raisouma Emmanuel, lauréat du grand prix de l’excellence littéraire avec son œuvre « Le pouvoir et le fils », dit qu’il est satisfait  pour le travail accompli pour arriver à ce rang,  « je suis aussi satisfait du travail d’objectivité  dans le respect des règles de l’art qu’a fait le jury sur cette modeste œuvre qui fait de moi l’heureux gagnant du grand prix de l’excellence littéraire en Français du mois de livre. Cette satisfaction me donne une très grande joie, une joie qui jaillie de mon cœur ». Le lauréat n’a pas manqué d’adresser ses vives reconnaissances aux éditions Toumaï qui ont voulu selon lui éditer cette œuvre en mettant fin à ses 11 années d’errance et de découragement. Il ajoute que ce prix est considéré comme un aiguillon qui galvanise pour la recherche de l’excellence. Il le dédie à tous les Tchadiennes et les Tchadiens qui se battent jour et nuit pour façonner le visage du Tchad à l'extérieur dans sa splendeur, une splendeur de diversité et de couleur, selon ses propres termes.

Pour Mme Kaoussar  Mahamat Salimy remporte le prix d’excellence littéraire en arabe avec son œuvre « Vengeance à cause de l’amour », cette année il y a une particularité qu'elle soit sélectionner parmi les lauréats, et donc c'est une fierté pour elle. Elle souligne que ce prix est un prix d'encouragement fort qui vient booster ses actions littéraires qu'elle mènera davantage. Selon elle, ce prix n'est pas décerné à elle seule, mais en honneur de toutes les femmes tchadiennes et à sa communauté « c'est quand même le prix de la plume féminine 2022 en arabe et donc, les femmes sont à l'honneur », conclut-elle

M. Hebtouyofeta  Raoul lauréat prix jeune talent avec son œuvre « Le destin de Roger » se dit ému d'être lauréat de jeune talent de l'année, bien que ce n'était pas facile d'arriver à ce niveau, mais qu'il est arrivé grâce à l'encouragement de son entourage à qui il exprime sa reconnaissance «  je suis très content et je partage cette joie avec tous ceux qui m'ont soutenu d'une manière ou d’une autre ». Ce prix je le dédie spécialement à la jeunesse en générale et particulièrement à la jeunesse tchadienne, dit-il.

Narhingurm Anastasie

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